Communication Sans Frontières

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Archive de l'auteur

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Appels aux dons attention !

27 janvier 2005 | By cyber, Dossiers

En pleine cacophonie d’appels aux dons, Véronique Gay, directrice de l’Union Nationale des Organismes faisant appel à la Générosité Publique (UNOGEP) rappelle, pour la France, les impératifs légaux et les conséquences fiscales pas toujours connues ou respectées des organismes qui font appel aux dons. Ceci concernera aussi les donateurs.

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PIERRE SALIGNON : « Pourquoi nous arrêtons l’appel aux dons. »

15 janvier 2005 | By cyber, Les témoignages
Pierre-Salignon

Juriste de formation, Pierre Salignon est directeur général de Médecins sans frontières.

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CSF annonce la tenue de sa 2ème « Matinale », rendez-vous professionnel de la solidarité

12 janvier 2005 | By cyber, Communiqués

Le marketing de communauté ou micro-marketing à l’honneur

 

Communication Sans Frontières (CSF), association humanitaire de professionnels de la communication, des médias et du marketing qui accompagnent les associations de solidarité nationale et internationale dans leurs problématiques de communication, tiendra la prochaine session de ses « Matinales » jeudi 17 février 2005, de 8h30 à 10h30, dans les locaux du Public Système.

 

Animée par Frédéric BEDIN, Fondateur Directeur Général du PUBLIC SYSTEME et Vice Président de l’ANAE (Association Nationale des Agences d’Evénements), elle aura pour thème : « Le marketing de communauté ou micro-marketing ».

 

Les inscriptions, individuelles et nominatives, doivent être faites auprès de Communication Sans Frontières les.matinales@communicationsansfrontieres.net

 

A propos des Matinales de CSF

 

Une fois par trimestre, des professionnels des médias et de la communication interviennent dans le cadre de débats ouverts aux responsables et acteurs de la communication au sein des associations et organisations de solidarité.

 

Chaque « Matinale » est tenue par un conférencier, expert ou partenaire privé, chargé d’introduire un sujet d’actualité dont il a une parfaite maîtrise, et de présenter son analyse et ses recommandations appliquées.

 

Les débats sont ensuite ouverts aux participants.

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Les « Matinales de CSF », les rendez-vous professionnels de la solidarité

14 décembre 2004 | By cyber, Communiqués

Communication Sans Frontières (CSF), association humanitaire de professionnels de la communication, des médias et du marketing qui accompagnent les associations de solidarité nationale et internationale dans leurs problématiques de communication, annonce le lancement de ses « Matinales ». Organisées une fois par trimestre, elles vont réunir des professionnels de la communication et des responsables des organisations de solidarité, de l’économie solidaire ou du développement durable, pour débattre et échanger autour d’un thème d’actualité ou de prospective.

Chaque Matinale sera ouverte par un conférencier, expert ou partenaire privé, chargé d’introduire un sujet dont il a une parfaite maîtrise, et de présenter son analyse et ses recommandations appliquées ou prospectives. Les débats seront ensuite ouverts avec les participants. La 1ère Matinale de CSF se tiendra mardi 14 décembre 2004, de 8h30 à 10h30, dans les locaux d’Euro RSCG. Animée par Bernard SANANES, vice-Président D’Euro RSCG C&O, membre de l’Association Française de Lobbying, elle aura pour thème : « la communication d’influence ». Les inscriptions, individuelles et nominatives, doivent être faites auprès de Communication Sans Frontières : les.matinales@communicationsansfrontieres.net

Les frais d’inscriptions sont de 45€ (petit-déjeuner offert), à verser à Communication Sans Frontières, obligatoirement par chèque à l’ordre de Communication Sans Frontières, et à envoyer préalablement.

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Monica Fossati et Sauveur Fernandez de l’agence Econovateur s’interrogent sur le développement durable et sa capacité a être intégré dans les actes et les mentalités dès le plus jeune âge

27 novembre 2004 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

« Ferme le robinet quand tu te brosses les dents, éteins la lumière quand tu quittes la pièce »

 

Ces petites phrases, à la base de l’éducation familiale, cherchent à instiller les premières notions comportementales de développement durable dans l’esprit des enfants et des adolescents, pour une raison généralement d’ordre économique. Mais bien qu’elles aient été répétées des années durant aux jeunes, le réflexe n’est pas forcément acquis, ou semble oublié. Cet exemple montre que la récurrence des messages ne suffit pas pour inciter à des changements de comportement profonds. Alors, comment dissoudre le développement durable dans l’esprit des jeunes ?

 

Les jeunes sous haute influence commerciale :

Loin de l’ordre, de la morale et des dogmes, transmettre des habitudes de vie respectueuses des grands préceptes du développement durable aux jeunes est une aventure nécessaire, mais qui exige de bien les connaître.

Une bonne nouvelle : leur culture spécifique est de mieux en mieux maîtrisée par les agences de communication spécialisées qui utilisent des techniques élaborées de marketing aux noms évocateurs : marketing viral (buzz, parrainage intéressé), marketing tribal, street marketing, etc. (1). Elles ont bien compris les désirs fondamentaux et contradictoires des jeunes : pour séduire les 8-25 ans, ces spécialistes du cool savent mettre en musique des notes émotives finement orchestrées qui s’appellent idéalisme, rébellion, hédonisme, transgression, besoin de modèles à suivre.

Mais, nouvelle plus mitigée, ce marketing des jeunes est amoral par essence : ni bon ni mauvais, il n’a pour seuls guide et contrainte que les lois du marchés, et pour vocation unique de servir les marques, en déversant sur les jeunes des milliers de tonnes de fringues et autres accessoires souvent hors de prix.

Les conséquences sociales sur le long terme de ces messages commerciaux sont tout simplement mésestimées. Ils leur inculque surtout pour l’instant des valeurs comportementales qui frôlent l’irresponsabilité sociale (culte excessif de la minceur, machisme latent, désir trop précoce des très jeunes de ressembler à leurs aînés avec la tendance Lolita-bimbo, etc.).

 

Le développement durable est-il soluble dans la jeunesse ?

Il serait hâtif de conclure que les jeunes ne rêvent que de fun, mode, musique, célébrité, argent facile, et qu’ils ne sont que le pâle reflet de leur consommation. Notre société se révèle pour l’instant très peu capable de leur offrir des occasions de vivre leur vraie vie de jeunes, tout simplement parce qu’elle ne les connaît pas vraiment :

La jeunesse, c’est en effet avant tout une attitude très particulière face à la vie : faculté de voir avec des yeux neufs les travers de nos sociétés (auxquels les adultes ne se sont que trop bien habitués !). Besoin de révolte, de confrontation, de jouissance, mais aussi d’intégration ! Les jeunes – et le paradoxe n’est qu’apparent – veulent en effet dans le même temps intégrer, en les adaptant, nos modes de vie. Ils ont aussi et surtout, le désir vital de trouver leur propre voie. Malheureusement ces idéaux légitimes, une fois assimilés et digérés par la machine médiatique et publicitaire, finissent par ressortir passablement télé-réalitisés : le risque est grand de n’offrir à la jeunesse que le rêve assagi et dévoyé d’un désir éperdu de gloire, de pouvoir et d’argent facile. (2)

Puisque l’on a su décrypter les valeurs et réflexes de la jeunesse occidentale, et que la publicité sait les engager dans la voie d’une consommation débridée, pourquoi ne pas orienter ces savoirs comportementaux dans une direction essentielle, en sensibilisant la jeunesse à des choix d’achat et à des comportements de vie plus respectueux des grands préceptes du développement durable ?

 

Et eux, qu’en pensent-ils ?

Plusieurs études démontrent qu’une majorité grandissante de jeunes se sentent très concernés par des problématiques sociales et environnementales. Ils se disent préoccupés principalement par l’exploitation des enfants et des hommes, puis par la sauvegarde de l’environnement et les tests sur les animaux. L’environnement est pour eux un souci prioritaire pour l’humanité. (3)

Mais, force est de constater que les jeunes sont loin de consommer en accord avec ces nobles idéaux. Pour quelles raisons ? Cette dissociation provient en fait principalement d’un manque de conscience – principalement dû au déficit d’information – sur le rapport entre la consommation individuelle et l’ensemble de ses répercussions sur la vie sociale et l’environnement.

Avec une telle constatation, il faut trouver le bon détonateur. Car, actuellement, leur décisions d’achat de consommation (mode, musique, sorties…) repose – à l’instar de beaucoup d’adultes ! – sur des critères classiques de prix, de style, d’usage, auxquels s’ajoute une versatilité propre à la jeunesse.

Mais, si, dans les sondages, les jeunes révèlent aussi des comportements fatalistes qui les empêchent d’agir individuellement, ils n’en restent pas moins en quête de valeurs vraies. Celles-ci s’expriment de plus en plus spontanément, faute de mieux, dans le circuit social et citoyen (manifestations alter mondialistes de Seattle, Gènes, Florence, etc.), une attitude consumériste nono, et la pratique de sports typiquement jeunes (sports de glisse.).

 

Des bases essentielles à connaître pour communiquer des changements de comportement positifs aux jeunes:

Nous avons vu que les jeunes constituent un mélange complexe de comportements et de pulsions aussi diverses et apparemment antagonistes que la révolte, l’idéalisation, le pragmatisme consumériste, la maturité, la naïveté, le besoin de modèle, de générosité, d’égocentrisme, et de tribus.

Il est fondamental, pour mieux les comprendre, d’appliquer au départ des règles de bon sens, à savoir déjà bien appréhender les différentes typologies de jeunes que l’on désire aborder, avec des critères précis de différenciation marketing classiques tels que l’âge, le sexe, le niveau social…

Mais cette analyse rationnelle est loin de suffire. Nous proposons ici une méthodologie concrète d’aide au changement positif de comportement individuel, basée sur 9 besoins émotionnels fondamentaux : il est ainsi possible de disposer d’une grille d’analyse rationnelle de gestion des émotions à la fois positives (rêve d’une vie meilleure.) et négatives (peur du changement.), qui facilite la conception, la mise en place et l’évaluation de campagnes de sensibilisation efficaces. Les freins psychologiques sont notamment clairement identifiés et pris en compte.

Voici pour exemple les 9 besoins de bases, adaptés aux adolescents et jeunes adultes. (4)

I – Le besoin de révolte

Les jeunes ont un sens naturel de la justice : « La planète se meurt, c’est dégueulasse, on ne peut pas laisser faire, il faut réagir, il y a bien des solutions ! ». C’est là tout l’aspect positif du besoin de révolte pour inciter les jeunes à réagir : les manifestations alter mondialistes, expertes en l’art du changement de comportement, prônent volontiers un tel type de réaction, d’où leur succès.

Mais qui dit révolte dit aussi refus de l’autorité. Un message de sensibilisation à l’attention des jeunes (prévention routière, tabac, alcool) ne devrait jamais donner l’impression qu’il émane d’une quelconque autorité, sous peine de voir son efficacité amoindrie. Se fonder sur le besoin de révolte est bien plus efficace : le site Internet www.jesuismanipule.com, sur la prévention du tabagisme utilise ce besoin.

 

II – Le besoin d’implication

 

Une étude réalisée en Angleterre sur des enfants âgés de 4 à 5 ans montre que des avertissements sur les dangers de la route restent inefficaces : ils continuent de traverser la rue seuls ! Les messages d’alertes sur les méfaits du tabac sur les paquets de cigarettes n’empêchent pas les gens de fumer.

On n’arrive en fait guère à susciter des changements durables d’attitudes, d’opinion ou de comportements en misant uniquement sur des campagnes de communication, aussi créatives soient-elles. Informer ne suffit pas. Le citoyen et le consommateur, doivent être impliqués personnellement et concrètement. Par exemple, la chaîne française de magasins Nature & Découvertes propose des ateliers malins et des animations scolaires pour les enfants qui les amènent à mieux connaître la nature.

Remarquons que le manque d’implication est la lacune principale de beaucoup de campagnes de sensibilisation actuelles, qui se reposent trop sur des visuels et accroches chocs.

 

III – Le besoin de l’autre et du don de soi

Les dons spontanés lors de catastrophes humanitaires prouvent une vérité première, souvent oubliée : tout être humain – et en particulier les jeunes – à autant besoin de donner que de recevoir. Le don de soi est le stade ultime du besoin d’implication. (5)

On comprend mieux alors les capacités étonnantes d’implication que le désir du don de soi peut déployer chez les jeunes. Encore faut-il les comprendre et savoir les inciter correctement. Autres temps, autres mours, ce besoin s’exprime différemment aujourd’hui :

Au revoir la lutte des classes sociales, le syndicalisme, les lendemains qui chantent, la cause unique… Bonjour les actions multiples, spontanées, éphémères et ludiques, les progrès modestes mais réels, les réseaux informatiques, les manifestations ludiques, la gratuité. dont s’inspirent les meilleures campagnes de sensibilisation à leur égard.

En s’impliquant sérieusement, les jeunes se rassurent sur leur engagement personnel, satisfont leur besoin de communauté sociale, constatent l’impact de leur action, et surtout, changent durablement de comportement.

 

IV – Le besoin de rêve

Ce besoin est fondamental : un individu quel qu’il soit rêve d’abord une réalité qu’il juge idéale, et qui lui servira de moteur pour sa vie. Le rêve reste le meilleur moyen d’inciter un jeune à se battre pour un avenir durable ou un comportement responsable, qui souvent lui sont présenté par un biais alarmiste, répressif et quasi forcé (campagnes de prévention routières basées seulement sur des visuels spectaculaires).

Les saga Harry Potter et Le seigneur des anneaux , la marque Ushuaïa , la série Télévisée Buffy et les vampires , le magazine Magic , tous ces exemples, lus ou regardés en majorité par des jeunes, mettent en scène, à des degrés divers, une nature rêvée , sauvage, impulsive, secrète, peuplée d’esprits à la fois bon et mauvais.

Il s’agira donc de s’entourer des meilleurs réalisateurs, scénaristes, graphistes… pour transcrire artistiquement les concepts souvent abscons du développement durable, et rendre attractif un nouveau comportement.

 

V – Le besoin de réalité

Un des grands problèmes des enjeux de société est leur difficulté d’appréhension. Comment en effet visualiser les effets terminaux du tabac ou d’un cancer quand un jeune se sent en bonne santé avec toute la vie devant lui ? Nous avons tous besoins de prendre clairement conscience d’un problème, de le rendre réel, avant de commencer à réagir.

Comment procéder ? Il faut créer des représentations ou symboliques visuelles fortes qui aident à mieux prendre conscience du problème (montrer un jeune avant et après une dépendance, généraliser des systèmes publics de visualisation de la pollution atmosphériques pour concrétiser le réchauffement climatique). L’obligation pour les appareils électroménagers de montrer leur consommation d’énergie est une bonne application officielle de ce besoin.

Notons un piège courant à éviter : expliquer une certaine réalité de façon trop rationnelle en abusant des arguments scientifiques : l’utilisation judicieuse de l’émotion humaine (sans tomber cependant dans l’excès d’images uniquement chocs), renforce considérablement l’impact des argumentaires scientifiques.

Les jeunes ont aussi besoin que l’on comprenne leur réalité : il faut donc parler leur langage et utiliser leurs propres codes de communication (Drogues : « Le canna, c’est pas sans risque ! »).

 

VI – Le besoin de fuite

Antithèse apparente du besoin de don, la jeunesse est aussi fortement tentée de se contenter de vivre sa vie sans trop se poser de questions, dans un contexte quotidien d’abondance, de confort et de propositions commerciales permanentes. Une actualité média chargée (crises sociales, environnementales, insécurité, guerres.) décourage aussi très souvent toute initiative positive.

Les meilleures façons de contrecarrer le besoin de fuite restent l’argumentation positive, la mise en scène d’un futur désirable, le soutien moral, l’accompagnement au quotidien et la mise en place de lois sociales normatives (suppression de la publicité pour le tabac.).

 

VII – Le besoin de plaisir, de reconnaissance

Au-delà d’une tentation de fuir leurs responsabilités sur le monde, les jeunes sont aussi – et c’est tout à fait normal – des hédonistes qui s’ignorent : ils cherchent à croquer la vie , ils désirent devenir riche et célèbre le plus vite possible, et posséder notamment des objets à forte reconnaissance sociale (marques de voitures haut de gamme).

Ce besoin est légitime dans la mesure où il aide les jeunes à satisfaire leur désir d’expérience de pouvoir et de reconnaissance, tout en participant à leur intégration dans la société, à condition qu’il ne constitue pas une finalité en soi.

Les promesses hédonistes et pragmatiques ne sont donc pas à négliger dans toute campagne de sensibilisation à leur égard. Les incitations positives aux changements de comportements doivent être aussi sexy et satisfaire leur ego en les valorisant. (6)

 

VIII – Le besoin de transgression

Tout jeune à un besoin naturel de connaître ses limites, de flirter avec le danger, de partir à la découverte de soi-même en enfreignant certaines règles sociales. La sensibilisation au développement durable peut en tirer bénéfice : par exemple, les sports de glisse nature (surf, windsurf, snow-board) savent orienter positivement le goût des 18-30 ans pour les conduites à risques : il s’agit de se mesurer à un élément naturel, neige, eau, air. La nature est perçue dans ces milieux comme un lieu de confrontation positive avec des éléments sauvages et indomptés.

 

IX- Le besoin de modèles, d’imitation

 

Corollaire du besoin de réalité, la jeunesse a besoin de jeunes prescripteurs et prescriptrices sexy qui leur donnent envie d’adopter de nouveaux comportements, en comprenant et parlant leur langage, et en leur donnant un modèle d’identification sociale qui les satisfasse. Par exemple : un chanteur engagé, un footballeur charismatique, un animateur cordial, une jeune personnalité médiatique.

Les jeunes sont également très sensibles au modèle adulte, même s’ils l’expriment rarement de manière aussi ouverte. Le casting peut ainsi se diriger vers un adulte moins pétillant, moins chébran , mais qui a le respect des jeunes (aventurier, acteur, présentateur…).

 

Conclusion

De tous temps les jeunes ont été à la fois programmés pour se révolter et pour être des idéalistes imperturbables; leur intégration dans la société passe nécessairement par ces étapes clés.

Une société saine et durable tire un précieux bénéfice de ces nobles idéaux qui l’incitent à évoluer en douceur, car les jeunes ont eu aussi de tous temps le rôle de poil à gratter de la société. Encore faut-il qu’elle veille à ne pas dévoyer ces aspirations, en ne transformant pas sa jeunesse en un simple segment de consommateurs parmi d’autres, ou pire, en dévoyant ses aspirations fondamentales.

Elle doit donc les aider à devenir des adultes responsables, en veillant à satisfaire tout particulièrement leur désir souvent sincère, de changer le monde. Pour ce faire, un imaginaire positif doit leur être insufflé, à la mesure de leur soif de vivre.

Les entreprises y gagneront des consommateurs matures, et la société des citoyens d’autant plus adultes que leur besoin de rébellion n’aura pas été étouffé ou dévoyé.

© Econovateur-novembre2004 – tous droits réservés – www.econovateur.com

 

Annexe

(1) Pour en savoir plus sur les techniques marketing sophistiquées utilisées pour attirer les jeunes et moins jeunes, lire : Hors média : quand la pub avance masquée

(2) Au sujet de la télé réalité, nous ne sommes pas formellement contre ce type d’émission, car elle recèle, par son principe même, des potentialité intéressantes originales d’implication de la jeunesse (exprimées imparfaitement par exemple dans l’émission française Star Academy qui fait comprendre que pour réussir, il faut suer ). Cependant, à notre sens, leur méthode actuelle de réalisation amène au minimum autant d’aspects négatifs que positifs (élection des participants et suivi psychologique très succincts, principe de sélection par élimination, émissions construites et menées dans un but uniquement mercantile, etc.).

(3) En 2003, 90,7 % des jeunes se disent concernés par l’environnement (Etude SIMM 2003 jeunes de Médiamétrie – décembre 2003). Citons aussi les études réalisées par l’agence publicitaire McCann-Erickson et l’UNEP sur la notion de consommation durable pour la jeunesse, 2000 / 2001.

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Communication Sans Frontières ® lance son site Internet

27 octobre 2004 | By cyber, Communiqués

www.communicationsansfrontieres.net se positionne comme un véritable carrefour de la communication solidaire Communication Sans Frontières (CSF), association humanitaire de professionnels de la communication, des médias et du marketing qui accompagnent les organismes de solidarité nationale et internationale dans leurs problématiques de communication, annonce le lancement de son site Internet (www.communicationsansfrontieres.net).

 

« A l’image de l’association, nous voulions que ce site Internet soit le point de rencontre des différents acteurs de la communication solidaire, qu’ils soient professionnels de la communication, ONG, associations, donateurs ou bailleurs de fonds… en somme, tous ceux qui, de près ou de loin, contribuent à la sensibilisation de l’opinion publique sur la citoyenneté, l’action humanitaire et caritative, le commerce équitable et le développement durable » déclare Bruno David, Président de CSF.
La vocation de ce site est double : d’une part, informer sur les missions de CSF en détaillant ses actions et activités en cours et à venir; d’autre part,contribuer à rendre plus efficace et plus claire la communication pour des causes citoyennes, ouvrir le débat et susciter des prises de position.

 

C’est pourquoi CSF a souhaité marquer le lancement de son site Internet par une interview exclusive d’Oliviero Toscani, photographe et créateur d’images et de campagnes publicitaires mondialement connues et controversées.

 

Le site de CSF se fera régulièrement l’écho de personnalités de la communication qui témoigneront en exclusivité sur ce portail. La place y sera aussi laissée à différents « coups de cœurs », « coups de gueules » ou « points de vue » sur des actions ou campagnes qui, par leur nature ou leur portée, ne peuvent laisser CSF indifférente.

 

Le site Internet de CSF a été réalisé par l’agence Caxton, mécène de CSF.

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Les partenariats entreprises / ONG dans le cadre des démarches sociétales

27 juin 2004 | By cyber, L'Observatoire,Les Etudes

Les entreprises commencent aujourd’hui à tisser des liens avec les ONG pour la mise en œuvre de projets communs. On assiste en effet à une reconnaissance mutuelle de la nécessité de collaborer et au développement d’une interaction critique entre les entreprises et les ONG pour contribuer à la résolution des problématiques de développement durable. Sur ce champ, les ONG sont de plus en plus nombreuses à proposer aux entreprises des mesures d’accompagnement, de conseil ou d’évaluation.

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Le mécénat d’entreprise face aux fusions-acquisitions : nouveaux ancrages, nouvelles perspectives

27 juin 2004 | By cyber, L'Observatoire,Les Etudes

L’étude réalisée en 2001 avait pour objet l’analyse des conséquences des fusions / acquisitions d’entreprises concernant l’évolution de leur mécénat et de leurs fondations. Elle mettait en évidence le fait que ces groupes étaient entrés dans des mouvements de restructuration qui s’inscrivaient dans la durée – certaines conséquences de l’opération étant quasi immédiates, d’autres n’ apparaissant qu’à moyen ou long terme.

Dans toutes les entreprises rencontrées à l’époque, il était apparu que nous n’étions pas à la fin de l’histoire et que plusieurs chapitres, en nombre variable selon les groupes, restaient à écrire.

Trois ans plus tard l’Observatoire de la générosité et du mécénat de la Fondation de France a souhaité que les mêmes entreprises, et si possible les mêmes interlocuteurs, soient interrogés pour faire le point sur les évolutions abouties ou en cours. Il convenait en effet de vérifier dans quelle mesure les conclusions de la première étude étaient encore valides.

Bien entendu, cette nouvelle photographie constitue, comme la précédente, un « arrêt sur image » qui ne préjuge pas d’évolutions ultérieures, même si elles ont été esquissées lorsqu’elles ont paru perceptibles (il est évident que le résultat de l’OPA lancée par Sanofi-Synthélabo sur Aventis aura des répercussions sur le mécénat de ces deux groupes..).

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Communication Sans Frontières accompagne l’UNOGEP dans sa campagne globale de sensibilisation à la générosité du public

1 juin 2004 | By cyber, Communiqués

L’Union Nationale des Organismes faisant appel à la Générosité du Public, a confié à Communication Sans Frontières la recherche de l’agence qui concevra sa prochaine campagne de sensibilisation, et trouvera les médias et partenaires prêts à la soutenir.

 

L’Union Nationale des Organismes faisant appel à la Générosité du Public (UNOGEP), syndicat professionnel créé en septembre 1998 pour assurer la promotion des organismes à but non lucratif, d’intérêt général et faisant appel à la générosité du public, a pour missions principales de promouvoir la générosité, de représenter les intérêts de ses membres auprès des ministères, et de mettre à leur disposition une documentation et des conférences spécialisées.

 

L’UNOGEP regroupe aujourd’hui 57 associations et fondations, qui collectent près de 2/3 des dons français, parmi lesquelles Action Contre la Faim, Croix Rouge Française, Ensemble Contre le Sida, Ligue nationale contre le cancer, Médecins Du Monde…
Face à la stagnation de la collecte de fonds française depuis 2000, l’UNOGEP souhaite redynamiser la générosité du public et l’élargir à de nouveaux profils.

L’UNOGEP s’appuie sur l’expertise de Communication Sans Frontières pour une communication d’image à long terme de valorisation des donateurs

Communication Sans Frontières (CSF) est une association humanitaire de professionnels de la communication, des médias et du marketing qui accompagnent les organismes de solidarité nationale et internationale dans leur communication.
CSF œuvre à la construction d’une relation éthique et déontologique entre associations, professionnels de la communication, entreprises et donateurs.
Sensible à la vocation de CSF, l’UNOGEP lui a confié la recherche d’agences prêtes à définir et concevoir sa nouvelle opération de sensibilisation à la générosité. Opération globale à long terme (de 2005 à 2008) qui mettra en valeur l’acte de donation, ciblera tout particulièrement les « papy boomers » et les quadragénaires, et s’appuiera notamment sur une campagne publicitaire pluri-médias, des événements et un site Internet dédié.
L’agence qui sera sélectionnée par l’UNOGEP devra lui assurer le soutien de médias prêts à diffuser la campagne publicitaire, et de partenaires privés et institutionnels qui parraineront les événements.

Mc Cann Erickson et Le Public Système en lice pour concevoir la campagne de sensibilisation de l’UNOGEP

La mission de Communication Sans Frontières consiste à sélectionner les agences ayant à la fois
les compétences et la volonté pour soutenir et valoriser les missions de l’UNOGEP.
« Je crois fortement à l’utilité de cette campagne pour l’ensemble des organismes membres de l’UNOGEP et les causes qu’ils défendent. La qualité de la relation établie avec Communication Sans Frontières et l’enthousiasme de ses représentants me rendent très optimiste quant à son succès. » précise Véronique Gay, Directrice de l’UNOGEP.
Deux grandes agences de communication sont aujourd’hui en lice, Mc Cann Erickson et Le Public
Système parmi lesquelles l’UNOGEP choisira son nouveau partenaire.
CSF s’assurera ensuite que la relation établie entre l’UNOGEP et l’agence sélectionnée
reste, sur le long terme, éthique et déontologique.
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Le développement durable répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs

27 mai 2004 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

« Le développement durable répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. » Extrait du Rapport Bruntland 1987.

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