Communication Sans Frontières

Rien à vendre, tout à défendre

  • Home
  • CSF
    • Manifeste
    • Missions et actions
    • Gouvernance
    • Les Partenaires
    • Nous suivre
  • Activités
    • L’Observatoire
      • Les témoignages
      • Les rencontres
        • Les rendez-vous
      • Les études
      • Le Comité Scientifique
    • Grand Prix
      • Tout sur le Grand Prix
      • Les palmarès
    • Share’s
      • Share
        • Les Requérants
  • Buzz
  • Nous rejoindre
  • Nous soutenir
  • Contact
MENU

‘L’Observatoire’

  • Accueil
  • L'ObservatoireDossiers

L’aide française aux victimes du tsunami du 26 décembre 2004

4 janvier 2007 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

Les images du tsunami, très vite relayées par les médias, ont provoqué un élan de générosité sans précédent de la part du public, mais aussi des entreprises et d’autres partenaires privés. Quelques organismes urgentistes, frappés par la disproportion de ces ressources avec l’estimation des besoins, ont rapidement appelé à l’arrêt de la collecte. D’autres, plus sensibles aux besoins de la reconstruction, ont poursuivi des appels à dons, qui insistaient pourtant principalement sur l’urgence…

A lire aussi :

  • Rapport public sur l’aide française aux victimes du tsunami du 26 décembre 2004
  • Observations et recommandations sur l’intervention des Fonds, Programmes et Agences Spécialisées des Nations Unies à la suite du tsunami de l’Océan Indien du 26 décembre 2004
  • Rapport définitif
En savoir plus

Communication événementielle : réinventer les pratiques des ONG

5 décembre 2006 | By cyber, L'Observatoire,News

LES PETITS DEJ’ DE LA COMMUNICATION
Compte rendu pratique

Intervenants :

 

  • David Giffar, président du groupe Alternat Développement
  • Luc Barruet, fondateur et directeur de Solidarité Sida
  • Romain Achard, directeur associé de Nouveau Jour

Animateur :

  • Julien Bayou, chargé de mission Coordination SUD

 

La communication événementielle n’a pas aujourd’hui de définition stricte. Dans les faits, elle englobe un ensemble d’actions parfois très éloignées – festival, conférence, happening ou même encore campagne de  marketing alternatif – mais dont la finalité est identique : « créer l’événement ».

L’objectif de ce petit-dej’ était de faire un tour d’horizon de ces actions et des moyens nécessaires pour les mettre en œuvre, et de montrer que celles-ci peuvent s’appliquer aux ONG et à leurs objectifs de communication : sensibiliser, médiatiser et collecter des fonds.

 

Communication événementielle : de quoi parle t’on ?

Intervention de David Giffar

David Giffar livre son expérience au sein des différentes structures du groupe Alternat-développement qui
interviennent dans le secteur de l’événementiel : traiteur équitable, location de voitures propres avec
chauffeurs en insertion… et surtout de l’Usine, fabrique d’événements, et d’Alternacom, agence de
communication événementielle.

Il existe plusieurs modes de communication événementielle :

  • la communication produit : communiquer sur une action (un lancement, une campagne…)
  • la communication institutionnelle : communiquer pour promouvoir l’image de sa structure
  • la communication réseau

La communication événementielle doit s’intégrer au plan de communication et répondre au mêmes logiques que les autres modes : avoir une réflexion sur l’annonceur, sur la cible de communication et sur la déclinaison du message.

Bien avant de rentrer dans la phase de production, il faut donc mener un travail de réflexion en amont, comme pour toutes actions de communication. A cette étape, pour réussir à créer l’événement, il faut veiller à se différencier des autres. Car mêmes les ONG évoluent dans un univers concurrentiel, où l’on crée l’événement en étant original.

 

Mener à bien une stratégie de communication événementielle

 

Intervention de Luc Barruet

Luc Barruet donne une série de conseils aux ONG qui souhaite se lancer dans l’organisation d’événement :

  • s’assurer de la visibilité de la structure et du message : pendant longtemps, les Solidays étaient plus connues que Solidarité Sida et/ou identifiées aux partenaires financiers de l’événement. Quel est le retour sur investissement dans ce cas ? Quel impact du message ?
  • Il faut donner du sens à un événement. Trop souvent, les moyens sont concentrés sur la partie production de l’événement. Les objectifs fixés au départ, les valeurs à faire passer sont souvent oubliées en cours de route et la structure se retrouve à faire de l’événement pour faire de l’événement. Il rejoint sur ce point l ‘intervention de David Giffar : l’étape la plus importante dans l’événementiel est en amont, particulièrement pour les ONG.
  • s’assurer de la maîtrise de l’ensemble des étapes. Cette remarque est liée au sens. Une ONG ne peut accepter n’importe quel partenariat événementiel. Dans chacun de ces partenariats, elle doit s’assurer de la maîtrise de l’ensemble des étapes, même du moindre détail, pour conserver le sens qu’elle souhaite donner à cet événement.
  • L’articulation avec la communication interne. Un événement est également l’occasion de mobiliser en interne. Associer chacune des parties prenantes –bénévoles, partenaires, salariés… -, c’est apporter une reconnaissance, un moment de plaisir à chacun d’eux, et ainsi permettre de lancer d’autres projets, ou de les aiguiller sur des actions moins motivantes au premier abord

Nouvelles formes de communication événementielle : une opportunité à saisir ?

Romain Achard intervient au titre de l’agence Nouveau jour, spécialisée dans les nouvelles formes de marketing. Il illustre son propos notamment par une action menée pour la marque Célio : les Shopenboys. Son constat était simple : la majorité des acheteurs de ces magasins de vêtements pour homme étaient des acheteuses, des femmes achetant des vêtements pour leur petit ami, mari…mais, ne connaissant pas toujours la taille de ce dernier. L’agence a donc créé les Shopenboys, mannequins vivants de toutes les tailles. Ainsi au lieu de parler directement de la marque ou du produit, l’agence s’est servie de ce constat en pointant du doigt un fait qui touche les gens dans leur vie de tous les jours, créant ainsi un sentiment
d’identification, de proximité en plus de l’originalité de l’action en elle-même.

Romain Achard tire de cet exemple plusieurs leçons qui peuvent s’appliquer aux ONG :

  • Pour chaque campagne, il faut dans un premier temps trouver « l’aspérité », la différence qui permettra de se démarquer ; la petite chose qui serve de « déclic » dans l’esprit du public et bousculera les choses..
  • Dans un deuxième temps, c’est cette aspérité qui servira d’axe différenciant de communication et qui suscitera la curiosité et l’intérêt des « influenceurs » (médias)
  • Il s’agit ensuite de construire des micro-événements pour qu’ils soient relayés dans les médias. Romain Achard suggère également de passer d’abord part la presse locale pour créer un bruit de fond, et attirer ainsi la presse nationale. L’événement doit pour cela être en adéquation avec les attentes des journalistes.

Ces micro-événements présentent l’avantage d’avoir un coût limité, assurant ainsi un bon retour sur investissement.

Dans le cas précis des ONG, il faut au cours de ces micro-événements donner la possibilité à la cible de s’identifier au message, à la vie du personnage mis en scène. C’est ce qu’il démontre au travers de nombreux exemples, notamment celui des enfants de Don Quichotte (www.lesenfantsdedonquichotte.org/). Cette association invite les passants à venir vivre le temps d’une nuit sous une tente, pour leur faire prendre conscience de la situation des SDF et la médiatiser.

Finalement, il conclut sur la même remarque que les deux autres intervenants : les nouvelles pratiques du marketing renouvellent l’approche de l’événementiel par le travail de différenciation qui s’effectue encore une fois en amont.

 

Pour aller plus loin…

 

Ouvrages

  • Arnaud du Moulin de Labarthète, la communication événementielle, édition Dumods, 2005, 152 pages.
  • W. Perkins, L’Evénementiel, une communication sans limite… ou presque : Expériences, principes et
  • réflexions, Edition Histoires d’être, 2003, 221 pages

Sites Internet

  • Alternacom : www.alterna-com.com
  • Nouveau Jour : www.nouveaujour.fr
  • Les agitateurs de solidarité, nouveautés et tendances de la com solidaire : www.agitateursdesolidarite.org
En savoir plus

Visibilité sur le web, bonnes pratiques et nouvelles tendances

12 octobre 2006 | By cyber, L'Observatoire,News

Intervenants :

  • Lucie Castex, consultante en nouvelles technologies et auteure d’une étude sur les nouvelles
  • formes d’engagement en ligne dans le secteur de la solidarité
  • Benoit Tersiguel, Directeur du site mubility.com, expert blog.
  • Dominique Lê Van Truoc, directeur de la communication de Handicap International.

Animateur :

  • Jean-Philippe Teboul, Vice-Président de Déclic

Une nouvelle « bulle internet » commence à se préciser, autour de la notion très floue de Web 2.0. On regroupe sous ce terme les nouvelles générations de sites internet, selon des critères qui sont très loin de faire consensus car il est difficile de les définir et chacun y va de son interprétation. La définition la plus répandue serait : « Le web 2.0 se caractérise par une implication bien plus forte des utilisateurs qui vont participer à la valeur d’un site ».

La seule application concrète du phénomène Web 2.0 est une spectaculaire valorisation des sociétés qui s’en revendiquent, comme Youtube.com, qui vient d’être rachetée par Google. Mais contrairement à ce que l’on peut lire dans les médias, il n’y a rien de nouveau dans cette technologie qui existe en réalité depuis 3 ans. C’est l’usage qui en est fait qui est « Web 2.0 », par exemple pour NetVibes (www.netvibes.com), qui en est l’archétype.

Définition du Web 2.0 d’après « Dannah Boyd (chercheuse en sociologie) Dannah Boyd s’intéresse moins à la distinction machines/humains qu’à la “glocalisation” : la glocalisation c’est quand un produit global est également adapté auxparticularités locales, quand il restitue à la globalisation sa dimension sociale. En mettant en avant, par exemple, les Folksonomies qui permettent d’ajouter des mots clefs à des contenus, ou le rôle du remix, elle s’intéresse aux “nouvelles structures de réseau qui émergent des structures globales et locales”. Le web 2.0 donne aux gens la possibilité de trouver, organiser, partager et créer de l’information d’une manière à la fois personnelle et globalement accessible. Il est alors entendu comme une “variation structurale dans l’écoulement de l’information”.

 

 

Le web se dirigerait donc vers une »individualisation enrichie de l’expérience utilisateur » : une « bloggisation » de tout l’internet ! Ce phénomène est prévisible car Internet a mûri, le nombre d’utilisateurs a atteint une masse critique, et ses usages se rapprochent de plus en plus de ceux de la société. Les évolutions « web 2.0 » sont donc à la fois les conséquences d’une individualisation à marche forcée et de son corollaire, une mise en avant du partage de connaissances et de la collaboration chers au « village global ».

On peut légitimement s’attendre à un appauvrissement volontaire du contenu de certains sites, cherchant à se mettre à niveau du consommateur, un peu comme le nivellement vers le bas que vécut progressivement la télévision, et parallèlement à une montée en puissance d’expériences réussies de travail collaboratif pour d’autres…

Les évolutions « web 2.0 » des sites internet méritent étude, ne serait-ce que sociologiquement :

  • contenu du site structuré par niveaux selon la cible (« visiteur, sympathisant, donateur, militant » pour un site d’ONG)
  • mise en avant de l’interaction la plus large possible avec le visiteur sous forme :
    • de contenu (« participez à la vie du site », « envoyez-nous vos contributions »)
    • de collaboration (mode Wiki, « éditez cet article »)
    • de dialogue (« répondez à cet article », « participez au forum »)
    • financière (« donnez », « adhérez »)
    • d’appel au relai (« aidez nous à faire connaître ce site »)…
  • Utilisation de technologies qui permettent de fidéliser le visiteur au site :
    • inscriptions
    • mailings
    • flux RSS

 

ONG et internet, état des lieux

 

Intervention de Lucie Castex.

La première partie de l’exposé a commencé par un classement fonctionnel des sites d’ONG, basée sur une analyse du rôle qu’y joue le visiteur.

On peut retenir 3 fonctions principales:

  • Vitrine institutionnelle (= »site plaquette »): présentation verticale de la structure
  • Recherche de ressources: paiement en ligne, don en ligne, appel à bénévolat
  • Travail collaboratif : partage de ressources militantes, wiki, forum…

On note que rares sont les sites couvrant les 3 fonctions, et qu’il est culturellement plus difficile qu’ailleurs, dans les ONG, de remettre en question l’existant, à la fois par manque de ressources, et pour des raisons structurelles, notamment les inerties dues au manque d’intérêt des structures dirigeantes pour les TIC.

La structuration du contenu, à part pour quelques grosses ONG (Greenpeace, Handicap International, ACF), est souvent teintée d’amateurisme, brouillonne et « verticale ».

D’autre part, on note qu’il n’existe aucune « communauté sociale » (blog collaboratif, forum transversal ou autre) reliant les acteurs d’ONG, alors que des communautés de ce type relient quasiment toutes les autres activités humaines, du tuning au militantisme strictement politique, ce qui serait un signe de sous-utilisation des ressources de l’internet par le secteur.

Mener à bien une campagne web

Intervention de Dominique Lê Van Truoc, illustration à partir du site de la campagne sur les Bombes à
sous-munition (BASM) : www.sousmunitions.org/home/home.php

La stratégie de communication bâtie autour de la campagne BASM est un succès. Celle-ci a été
conçue en plusieurs étapes :

  • Développement d’un mini-site dédié au thème
  • Lancement faisant appel à tous les mass-medias possibles (jusque l’émission de télévision l »a Méthode Cauet »), recrutement de « relais d’opinions » sur internet en écumant les blogs, mise à contribution de célébrités en promotion… pour faire un maximum de bruit autour du site
  • Parallèlement, lancement d’une campagne d’affichage nationale et de pub dans la presse
  • Diffusion d’« interviews » clefs en main aux journalistes, en privilégiant la forme (« mieux vaut un texte simple, écrit en direct par un témoin d’une catastrophe, qu’une analyse complexe »)
  • Mise en ligne de petites vidéos et autres fonds d’écran, appels à participation… et même un psychotest (www.sousmunitions.org/engagezvous/index.php).

Le nombre de visiteurs est contrôlé quotidiennement et afin de mieux connaitre leurs internautes, Handicap utilise la méthode du profiling.

L’internet de demain: quelles opportunités pour les ONG ?

Intervention de Benoit Tersiguel

Cette intervention présentait quelques idées amélioration de la communication des ONG sur internet. Plusieurs idées ont été présentées : flux RSS, paiement en ligne, utilisation des forums sur quelques thèmes, utilisation d’un CMS (logiciel de gestion de contenu) comme SPIP (système de publication pour internet), utilisation d’un module de statistiques, mises en lignes décentralisées, etc.

 

Pour aller plus loin

Pistes d’action :

Dans les idées énoncées lors de cette rencontre, plusieurs points sont à retenir pour dynamiser son
site internet :

  • mise en place d’un mini-site pour contourner l’inertie structurelle lors d’une campagne, qui permet le montage ponctuel d’une équipe dédiée et un archivage simplifié ; possibilité également de dégager plus facilement une identité visuelle propre à la campagne
  • utilisation de supports humoristiques ou décalés sous forme de vidéos pour appuyer
  • les campagnes
  • recours à l’image ou au son dès que cela est possible, diffusion des contenus « lourds » en utilisant les réseaux « peer to peer » (réseau d’échange et de partage de fichiers entre internautes)
  • envisager plusieurs niveaux de navigation sur le site officiel en fonction du profil des internautes afin de faciliter l’accès

Ouvrages :

  • Anne-Laure Quatravaux et Dominique Quatravaux, Réussir un site web d’association…avec des outils gratuits, Collection Accès libre, Ed. Eyrolles, 2004, 280 pages.
  • Fabien Granjon, L’Internet militant : Mouvement social et usage des réseaux télématiques, Ed. Apogée, 200, 189 pages.
  • Loic Le Meur et Laurence Beauvais, Blog pour les pros, Coll. Planète Internet, Ed. Dunod, 2005, 268 pages
  • Seth Godin, Les secrets du marketing viral, Ed Maxima, 2001, 194 pages

Revue

  • Courrier International, Dossier spécial « La révolution Web 2.0, Quand le Net devient une communauté », N° 826 du 31 aout au 6 septembre 2006.

Mémoire

  • Lucie Castex-Flament, De l’information vers l’action en ligne : les dispositifs de e-petition des grandes ONG en France. Les apports d’un outil transversal pour l’optimisation du processus de lobbying citoyen, mémoire sous la direction de M. Gonzague Chastenet de Géry, 2006
  • Stéphanie Dupont, Les enjeux d’Internet dans la communication des ONG, mémoire sous la direction de A. Rufino, 2002

Site internet

  • Framasoft : site internet collaboratif dont le sujet est le logiciel libre et son état d’esprit. Il a pour objectif principal de faire découvrir le logiciel libre au plus large public. Il propose ainsi un vaste annuaire classé et commenté de plusieurs centaines de logiciels libres régulièrement mis à jour, mais également des tutoriels, des espaces de discussion et des articles de fond. www.framasoft.net/article3050.html
En savoir plus

Indépendantes les ONG ?

20 août 2006 | By cyber, Dossiers

On dit souvent que l’humanitaire et le développement international sont devenus une véritable industrie, voire une vache à lait. S’il est vrai que les sommes gérées par les ONG sont plus imposantes que jamais, le nombre d’aspirants à la course aux fonds publics et privés se multiplie, créant une compétition bien réelle entre ces organisations caritatives qui poursuivent pourtant des idéaux semblables.

En savoir plus

Rapport spécial relatif à l’aide humanitaire apportée par la Commission européenne en réponse au tsunami

21 juillet 2006 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

Un rapport accompagné des réponses de la Commission.

En savoir plus

Visages de la générosité

27 juin 2006 | By cyber, Dossiers

Les Visages de la Générosité sont des portraits de donateurs. Ils ont pour ambition d’éclairer, par la reconstitution de parcours de vie, les choix effectués par ces acteurs de la générosité publique.

En savoir plus

Chaque vache reçoit une subvention annuelle moyenne de plus de 900 dollars, un Africain sur deux vit avec moins de 1 dollar par jour

27 mai 2006 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire
En savoir plus

Portrait de la générosité en France

27 mai 2006 | By cyber, Les Etudes,Sondages

Résultats d’un sondage réalisé du 27 avril au 09 mai 2006 auprès d’un échantillon de 1990 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. La représentativité de l’échantillon et été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de famille) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont eu lieu en face à face au domicile des personnes interrogées.

En savoir plus

La peur est-elle efficace dans un contexte français de lutte contre les comportements tabagiques ?

27 avril 2006 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

À l’heure où toutes les crises médiatiques d’ampleur liées à la santé s’indexent sur la peur et que la France reste l’un des derniers pays à ne pas avoir pris des interdictions totales de fumer dans les lieux publics, Karine GALLOPEL, maître de conférences à l’Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE) et au Centre de Recherche en Management (CREM, UMR CNRS), membre de la commission nationale « information et prévention » de la Ligue Nationale Contre le Cancer et membre du Conseil d’Administration du Comité National Contre le Tabac s’est interrogée au sujet par le prisme du tabac.

Plus précisément, après avoir résumé les modèles théoriques de l’influence de la peur sur les réactions des consommateurs, une expérimentation menée sur 489 étudiants est présentée. Les conclusions de cette étude sont riches en enseigne-ment. En effet, elles révèlent que la peur est efficace pour inciter des non-fumeurs à ne pas fumer et des fumeurs à diminuer leur consommation tabagique. En revanche, lorsqu’il s’agit de l’arrêt du tabac, un message phobique doit être accompagné d’un message de soutien qui rassure le fumeur quant à sa capacité à arrêter de fumer.

En savoir plus

Portrait général du Mécénat d’entreprise

27 avril 2006 | By cyber, Dossiers,L'Observatoire

Le Mécénat d’entreprise est une forme de générosité privée qui tend à se développer de plus en plus. Dans la diversification de leurs ressources, les organismes faisant appel à la générosité du public trouve dans le mécénat une ressource non négligeable. Du point de vue des entreprises, le mécénat est un moyen dans la mise en place de la responsabilité sociétale des entreprises.

En savoir plus
« Page précédente — Page suivante »
‹12345›»

This message is only visible to admins.

Problem displaying Facebook posts.
Click to show error

Error: Server configuration issue
This error message is only visible to WordPress admins

Error: No connected account.

Please go to the Instagram Feed settings page to connect an account.

Tweets de @ComWBorders

Abonnez-vous à notre newsletter

Articles récents

  • 14e Grand Prix de la communication solidaire [Résultats] 30 mars 2022
  • Grand Prix de la communication solidaire : remise des prix le mardi 29 mars à Paris 27 février 2022
  • 14e Grand Prix de la communication solidaire : les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 14 janvier ! 3 janvier 2022
  • Les Rencontres de la Communication Solidaire vous donnent rendez-vous le 5.NOV.2021 9 octobre 2021
  • BAM – Relation donateurs 12 mai 2021

Réactions récentes

  • Inscrivez-vous au 12 ème Grand Prix de la Communication Solidaire dans 11ème Grand Prix de la Communication Solidaire
  • Top 8 des meilleures campagnes de pub solidaires, celles qui font vraiment réfléchir | TOP FRANCE dans 11ème Grand Prix de la Communication Solidaire
  • Top 8 des meilleures campagnes de pub solidaires, celles qui font vraiment réfléchir – Café Sofia dans 11ème Grand Prix de la Communication Solidaire
  • 11ème Grand Prix de la Communication Sol... dans 11ème Grand Prix de la Communication Solidaire
  • Odilon Haiversone Nguinza dans Communication et ONG : Mirella von Lindenfels, précédemment directrice du programme médias et audiovisuel d’ Amnesty International est actuellement Directrice de « Communications Inc Ltd »
Abonnez-vous à notre newsletter

  • FAQ
  • Mentions légales
Tweets
Tags
CNRS Commerce équitable Communication et politique Coordination Sud Développement durable Entreprises et associations Etudes CSF Générosité Haïti Initiatives citoyennes Les 10 ans Les Matinales Penser les médias Relations associations et media Secteur associatif Solidarité Stratégies Médias Tsunami

© 2003-2025 - Communication Sans Frontières. Tous droits réservés

  • Home
  • CSF
    • Manifeste
    • Missions et actions
    • Gouvernance
    • Les Partenaires
    • Nous suivre
  • Activités
    • L’Observatoire
      • Les témoignages
      • Les rencontres
        • Les rendez-vous
      • Les études
      • Le Comité Scientifique
    • Grand Prix
      • Tout sur le Grand Prix
      • Les palmarès
    • Share’s
      • Share
        • Les Requérants
  • Buzz
  • Nous rejoindre
  • Nous soutenir
  • Contact